vendredi, septembre 29, 2006

Le French Tuesday

Que fait un français qui gagne assez bien sa vie à New York un mardi soir sur deux ? Il se rend au French Tuesday. C’est une soirée toute les deux semaines, organisée par deux gars qui ont monté ce concept. Au départ ils se retrouvaient entre amis avec les amis des amis en boîte, et puis ca à pris de l’ampleur, et maintenant il faut être membre du club French Tuesday pour avoir le droit d’inviter d’autres amis (8 maximum) à venir au French Tuesday avec soi. Je suis l’un des huit à chaque fois… Et le concept à tellement bien pris que ces deux amis font la même chose à Miami et Los Angeles, avec les français du coin, réservant de belles boîtes à chaque fois. Ils se remplissent les poches…

L’ambiance est très chics, les gens sortent du boulot, ou repassent chez eux mettre la tenue de soirée. La coupe de champagne Laurent Perrier est à 12 dollars mais personne ne semble s’en soucier. Cela commence assez guinder, tu viens d’où ? tu fais quoi à New York ? Mais au fur et à mesure qu’on avance dans la soirée les gens se lâche. Que des français ? Non, ce qui est rigolo ce sont les américaines qui prenne un malin plaisir à venir à ses soirées pour pouvoir profiter de la french touch…

Souvent, une personnalité vient animer la soirée, toujours à Thème. Ainsi, après Arielle Dombale il y a quinze jours, hier c’était le DJ Stephane Pompougnac qui venait mixer pour promouvoir sa nouvelle compile, Hotel Costes 9, de la bonne music toute la soirée grâce à cette pointure de la musique électronique. Un ptit film pour les fans...



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Il y a pas que Macdo dans la vie…

Le Hooters, un concept que j’avais découvert à Las Vegas (au Hooters Hotel, 257 hooters girls), et dont nous avons refait l’expérience à New York. La recette de cette chaîne reste la même peu importe l’endroit aux USA : du sport à la télé, des serveuses en short ultra court et débardeur, embauchées pour leurs atouts, des ailes de poulets servis avec des frites torsadées, et un rouleau de sopalin sur la table car c’est vraiment très dur de pas s’en foutre partout…

Au delà des ailes de poulets dont il est possible de choisir parmi si mes souvenirs sont bons 9 degrés différents d’épicés, c’est donc le service que l’on retient au hooters bar. Sur la photo, c’est Alice, notre serveuse officielle pendant le repas… Forcement elle sentait un peu le poulet à servir toute la soirée des ailes, mais le reste compense.

Et le grand charme du Hooters, c’est d’y venir le jour de son anniversaire, pour avoir le droit au Special Birthday show. Bien sur, le gars sur la vidéo fait genre qu’il ne se doute de rien et est surpris de l’arrivée du groupe de jeunes filles, mais en réalité, il est venu ici avec ses amis rien que pour ces deux petites minutes au centre des shorties…


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Halloween Fever !

Et oui, le 31 octobre c’est Halloween, encore un mois me direz-vous ? Certes mais à New York tout semble déjà être bien en place. Dimanche dernier, il était donc temps de faire un tour dans un magasin de costumes histoire de se donner des idées pour la grosse soirée qui va avoir lieu pour l’occasion. Et là j’avoue que je n’ai pas été déçu du détour, Halloween et les costumes, c’est vraiment une autre dimension ici…

Ce magasin se vante d’avoir les costumes les moins chers du marché, sans lésiner sur la qualité, et c’est vrai qu’à en moyenne 45 dollars le costume, à l’achat et non pas à la location, c’est tout de même pas bien cher. Le choix est impressionnant, un pan de mur énorme remplis de photos de costumes avec un numéro. On fait son choix, on peu demander à essayer, et une fois le costume trouvé, on repart avec, y’a plus qu’à donner le numéro à la caisse.

C’est donc une sélection difficile mais vraiment drôle à faire de mes trois costumes préférés que vous avez sur ce post. Le premier, le Fart-O-Meter, n’est autre qu’un aspirateur à prout qui jauge le degré de ce que l’individu analysé vient de dégager. Ensuite dans l’ordre, un costume qui plairait à mon ami texan, celui du rodéo man, avec le taureau gonflable, dont les jambes avant sont en fait les jambes de l’individu déguisé, malin !!! Enfin last but not least, mon préféré, le déguisement « fût de bière », sobre et efficace, l’habit ne fait pas le moine mais avec ça je suis sûr que je vendrais beaucoup de caisses… lequel ai-je choisi pour la fameuse soirée ? Réponse dans un mois…

jeudi, septembre 21, 2006

VOL EN HELICO AU DESSUS DE MANHATTAN

Mes amis New Yorkais ont décidé de me gâter pour mon anniversaire, en m’offrant un vol en hélicoptère de 14 minutes au dessus de Manhattan. C’est donc après une journée de boulot bien complète que je me rends à l’héliport l’extrémité Ouest de Manhattan. Monter dans un hélicoptère, je ne l’ai jamais fait, pas vraiment rassuré, mais vraiment excité, je passe le check in, attend patiemment. Puis enfin on m’appelle, s’en suivent les instructions de sécurités, à vous les studios…

C’est enfin l’heure d’embarqué, les gros sont mis derrières, les légers devant, je vais donc bien au fond avec mon ossature lourde. Je me retrouve près de la vitre tout va bien. Il me demande de mettre un gilet de sauvetage dépliable autour de ma ceinture, car on va survoler de l’eau… Enfin si je survie à crash, je pense pouvoir survivre dans l’eau sans gilet… mais ces pensées sont vites oubliées par le ton à la top-gun du pilote, et le décollage…




Un vol magnifique, sous un couché de soleil qui laisse une partie dans l’ombre une partie dans la lumière. Malheureusement on ne peux pas voler directement au dessus des buildings pour des raisons de sécurité aérienne, mais ça reste unique. Je vous laisse avec mes commentaires, merci les amis pour ce cadeau vraiment énorme !!!

mercredi, septembre 20, 2006

Gad Elmaleh A NEW YORK


Dimanche soir c’était la grande classe pour Gad, il réunit 3000 personnes au Beacon Theater sur Broadway pour son show « L’autre c’est moi » qui a déjà réuni plus de 300000 personnes en France. J’étais présent dans la salle, pour la modique somme de $45 dollars perché bien en haut dans le théatre, et n’ayant jamais rien vu de cet homme, j’ai passé deux bonnes heures très sympathiques.

Son show était en français, pour le public français à New York, ce qui va de soit, mais sur les affiches était quand même précisé que le show était en français…. Ce qui n’a pas empêché un américain qui ne parlait pas un mot de français de venir assister au spectacle, ce qui lui a valu d’être invité sur scène.


Un Gad très marrant donc, qui a fait de belles exclus sur la vie New Yorkaise, et nous raconte son arrivée au Beacon Theatre, et le pradoxe suivant : Il demande au chauffeur de taxi de l’emmener au Beacon Theatre, ce dernier lui demande quel show il va voir …. Il lui dit que c’est son propre show mais le chauffeur ne le croit pas…. Assez marrant de remplir une salle de 3000 personnes à New York et passer pour un parfait inconnu….

lundi, septembre 18, 2006

22 ANS A NEW YORK

On a pas souvent l’occasion de fêter son anniversaire à New York, alors pour la petite fête que je tiens dans le jardin du foyer de Jeunes Filles en plein Chelsea où habitent mes copines Anne et Laurianne, je décide avec l’ami Xavier presque du même jour de faire un barbecue. Mais organiser un barbecue à Manhattan, c’est pas ce qu’il à de plus simple ! Il a fallu trouvé les barbecues, acheté dans un discount store au New Jersey, puis le charbon dans un magasin à tout à un dollar qui destockait (du charbon pas comme chez nous avec des morceaux de la taille de ma tête). Puis comment allumer le barbecue ? Avec du p’tit bois et du journal, sauf que le New York Times semble émifugé et que à part des hortensias trempés par la pluie pas de quoi monter des fagots. Finalement on se rechigne à utiliser l’alcool allume charbon et on vide la bouteille dans le barbecue, le résultat est satisfaisant et les burgers délicieux…


Tout le monde est de la partie, la fête bat sont plein, et pour une fois l’international est à l’honneur et on ne retrouve pas qu’entre frenchies avec la visite de mes anciennes collocs, grecque à gauche, polonaise à droite, vive l’Europe. Ensuite cela tourne vite à la vraie boom, quart d’heure américain et autres danses, alors que l’alcool coule à flots, sans doute un peu trop…

Ce n’est pas tous les soirs que je fête mes 22 ans, et je vais peu être un peu trop loin dans le concept, au point de ne me rendre compte qu’une fois en ville pour l’after, que je n’ai plus mon appareil photo en poche…. Malgré une recherche à la guirlande de noël à 5H30 du matin dans la pelouse du jardin, et un passage du jardin au peigne fin à la lumière du jour, rien de rien. Je décidé alors de fouiller au hasard les placards de la cuisine, tout en commençant à me demander quel modèle vais-je choisir pour remplacer celui que j’ai pourtant acheté il y a à peine deux mois, je tombe nez à nez sur la bête. Comment est-il arrivé dans un placard de cuisine, sans doute un moment de « lucidité » vite oublié qui m’a dit de le mettre à l’abri… merci Anne pour la photo pièce à conviction, et merci à tous les amis New Yorkais pour cette soirée magique et ce cadeau magnifique : jeudi un vol en hélico au dessus de Manhattan… affaire à suivre !!!!

dimanche, septembre 17, 2006

LAS VEGAS PART 4 : LE TEMPLE DU JEU

Je m’étais fixé un budget de 300 dollars sur place, pour trois jours, incluant les jeux les boissons et la nourriture. Au final je suis reparti avec 360 dollars en poche… explications.
Il y à d’abords la machine à sous qui nous à bien occupé les premières. Rien de tel pour digérer que de se pauser sur une machine à 1 cents, de mettre 3 dollars et de jouer pendant plusieurs heures sans vraiment gagner ni perdre. Et ce qu’il y à de bien à Las Vegas, c’est que à partir du moment où l’on est assis sur une machine ou sur une table de jeux, la boisson est gratuite comme par magie, peut importe ce que l’on demande. Un petit dollar de pour boire par ci par là pour faire revenir la serveuse plus rapidement et le tour est joué. Voilà là vidéo d’un jackpot, mon plus gros jackpot du week-end, 17192 crédits soit 17,2 dollars.



Et puis l’après-midi laissant la place au soirée, l’alcool aidant, nous sommes à même de prendre des risques un peu plus important. A coup de jetons de 10 dollars, nous prenons place à la table de craps. Le principe est simple : Lancer deux dés, faire 7 ou 11 et je gagne ma mise, un autre nombre et je dois le refaire avant de faire 7, et pas faire 2,3 ou 12. Un grand moment à la table de craps, nous jouions 10 dollars par 10 dollars, alors que certains jetaient des liasses de 3000 dollars sur la table, cigare à la main… Ce qui est drôle aussi c’est que l’on peu parier sur les autres et je me suis donc retrouver à lancer les dés pour des mises énormes sur l’issue de mon jet. Après plusieurs heures à la table, voilà le résultat, 40 dollars au départ, 200 dollars à l’arrivée, ce n’est pas souvent que je suis en contacta avec ce genre de billet.

Une virée de 3 jours complètement délirante donc, avec de gros fou rires en permanences, du fun, plein les yeux, et en plus du gain ! Que demander de plus…. Mais 3 jours c’est bien assez pour se genre de virer, après ça peut mal tourner, regarder déjà l’état de mes yeux au bout de trois jours !

LAS VEGAS PART 3 : LA DEMESURE


Si Las Vegas est le temple du jeux, c’est aussi le temple de la démesure et du délire complet.Il n’y a pas un hotel de la Strip qui n’ait pas quelque chose qui vous laisse bouche B. Déjà ce sont des complexes énormes avec pour beaucoup plus de 5000 chambres, et au delà de la partie casino qui est plus où moins la même d’un hotel à l’autre, ils se démarquent par leurs façades et leurs parties balades/shopping. Dur de tout énumérer, mais regarder cette Tour Effel à l’hôtel Paris, qui fait quant même la moitié de la taille de l’originale et n’est pas fait de carton pâte.



Toujours dans le délire le plus total, le New York New York où ils se sont amusé à reconstruire un mini empire state building et un mini chrystler building pour y mettre des chambres d’hotel à l’intérieur, et puis comme si cela ne suffisait pas il y a aussi le pont de Brooklyn et un grand huit devant l’hôtel, sans oublier la statue de la liberté qui semble presque aussi grande que la vraie.

Ce qui à de bien c’est qu’on a beau être dans le désert, tout est là. En une demi heure je suis passé d’une balade dans Venise où j’ai pu voir le célèbre plafond de la chapelle Sixtine, et aussi des gondoles promenant des amoureux le long des canaux, bien sur tout ça à l’intérieur de l’hôtel. Et puis je traverse la rue et me voilà au Mirage, une oasis dans le désert avec un tigre qui m’accueille derrière sa vitre à l’entrée de l’Hôtel.

Et pour finir dans le délire le plus complet, voilà la vidéo du show aquatique qui part toutes les heures devant l’énorme plan d’eau de l’hôtel Bellagio… avec une bande son qui pousse à la chansonnette comme vous pouvez le voir.




LAS VEGAS PART 2 : NOTRE HOTEL

Nous n’avons pas fait les choses à moitié, et avons réservés deux chambres à l’Imperial Palace, un hôtel aux allures d’ancien temple japonais, en plein milieu de la Strip (l’artère centrale de Las Vegas où s’enchaînent les hôtels) avec le célèbre caesar palace juste en face. Il faut dire que la politique ici est de brader le prix des chambres car ils savent bien que les sous seront dépensés dans les machines à sous...

Au réveil, rien de tel qu’un petit tour dans la piscine de l’hôtel. Mais à vrai dire l’eau est un peu fraîche pour mes amis Texans, et nous finissons donc dans le jacuzzi. Les journées commencent donc dans les bulles, la vie est dure.

Et rien de tel pour jouer que d’avoir le ventre bien plein. Là aussi chaque hôtel voit les choses en grand avec des buffets à volonté dont il est difficile de faire le tour de la sélection entière en un seul repas. Mais nous nous sommes pris au défi, et après pas moins de quatre assiettes proprement englouties, voilà l’assiette de mon désert, il y avait une machine à Sunday je n’ai pas pu résisté !

LAS VEGAS PART 1 : LE VOYAGE

Cela faisait plus d’un mois qu’on en parlait avec mes deux amis au Texas, et nous voilà enfin rendu au D-Day du départ. Rejoindre Las Vegas de New York est rien qu’en soit une aventure unique pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude des grands voyages comme moi. C’est un vol de 3617 km qui nous attends, plus de 6 heures de voyage en deux étapes, ce qui fait quatre décollages et atterrissage en un weekend, plus que dans toute ma vie . Décoller de New York La Guardia est vraiment magnifique, on survole Manhattan et la vue est sensationnelle, à couper le souffle.



Puis c’est la grande traversée, le temps est assez clément dans l’ensemble ce qui laisse entrevoir de magnifiques paysages, d’Est en Ouest. Mais c’est vraiment la dernière demie-heure du voyage qui est à couper le souffle. On redescend en altitude et on se retrouve à survoler le désert et les rocheuses. Des canions, de la terre rouge à perte de vue, la sécheresse impressionnante et des nuages qui semble résister dans le ciel, faisant de magnifiques ombres chinoises sur le sol.

Et l’excitation monte à l’annonce de l’atterrissage, je ne peux m’empêcher malgré l’interdiction d’utiliser des electronic devices à ce moment critique, de filmer cette arrivée en plein désert, où jaillit soudain une oasis de fête, un monde complètement irréel qu’est ce Disneyland pour adults.



lundi, septembre 04, 2006

My First Broadway Musical

New York est connu pour ses comédies musicales, et après trios mois ici, il était temps que je test un peu les Broadway Shows! Mardi je vais donc voir le SPAMELOT, qui n’est rien d’autre que l’adaptation théâtrale de Monthy Pythons and The Holy Grail, où l’humour anglais décalé des Monthy Pythons retrace les aventures du roi Arthur dans sa quête du Grâle.

Une explosion continuelle de chansons, de danses, de couleurs, d’effets spéciaux, de grosses blagues bien grasses pendant deux heures, que du bonheur. On retiendra l’énorme lapin de Troi qui sert au roi Arthur à pénétrer dans le château des Français dont les gardes ne cesse de faire des proutes et des doigts d’honneurs du haut des remparts, avant de catapulter des vaches sur les chevaliers anglais… Et le combat final à la grenade sacrée contre un lapin carnivore qui arrache la tête d’un des chevaliers sur scène… du théatre comme je l’aime. Désolé pour la qualité de la vidéo, mais l'appareil photo était bien sûr formelement interdit, j'ai donc encore bravé tous les risques pour vous ramener ces images.



J’ai profiter de l’entracte pour aller toucher deux mots au bar manager. En effet parmi mes bières j’importe la Holy Grail, bière anglaise, brassée pour le 30ème anniversaire des Monthy Pythons, une bière qui a donc toute sa raison d’être dans ce théatre. Malheuresement, Budweiser aurait versé une important somme d’argent pour avoir l’exclusivité de la distribution dans ce théâtre… Enfin le bar manager avait l’air emballé par le produit, j’ai eu une adresse à aller voir pour discuter, affaire à suivre…

UN REVE DE GOSSE…

Si il y a un magasin à Manhattan qui ne peut laisser aucun enfant indifférent… c’est bien le Toys’R’Us de Times Square…. En tout cas moi à chaque fois que j’y vais je suis encore plus fous que les petits américains. Rien que l’entrée à de quoi en bluffer plus d’un. En effet, ils ont eu la bonne idée d’installer une grande roue de fête foraine dans le magasin. C’est sûr que avec 4 étages de jouets, il y a la place. Je n’ai pas encore pris de billet pour y faire un tour, mais je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps.

J’ai toujours été un gros fan de LEGO, et c’est vrai que j’étais assez fier quand j’avais finis le gros bateau de pirate que j’avais eu à un Noël. Et cela à du bon que mes parents ne m’ai pas emmené dans ce magasin dans la foulée, car je pense que j’aurai été un peu frustré devant cette statue de la liberté en LEGO de plusieurs mètres de haut.

Enfin, voilà en exclusivité le jouet qui va faire fureur sous le sapin à Noël prochain. Si ce dernier n’est pas encore sortie en France, faîtes moi signe et je lance un commerce d’exportation sur ebay, ça va cartonner. Voici la vidéo de la démonstration de la soucoupe volante télécommandé… cela fait rêver. N’oubliez pas de m’envoyer un email pour passer commande !

US OPEN UNDER THE RAIN

Cela fait déjà une semaine que l’US Open 2006 a commencé, mais j’ai pris un peu de retard sur le blog… Voilà donc un secret qui n’est réservé qu’aux initiés, la veille du départ du tournoi, il est possible d’aller se promener dans le village de l’US Open et de faire le tour des stades gratuitement. Il est alors d’usage de croiser les plus grands qui tapent la balle pour régler une dernière fois leurs coups droits avant le grand jour !

C’est donc tout emballés que nous partons de bon matin vers la dernière station de métro au fin fond du Queens pour le lieu du tournoi légendaire. Malheureusement à peine arrivé c’est une pluie diluvienne qui nous accueille et les joueurs restent bien au chaud dans le club lounge à accès réservé aux badges, les alentours sont déserts..


Finalement, sous une pseudo accalmie, une joueuse daigne aller taper la balle jaune avec son coach, mais ces belles gambettes nous restent inconnues. Un peu déçu de la tournure des évènements, trempés jusqu’aux os, on fini par prendre le chemin du retour, je prends quand même la pause avec une star… info ou intox, à vous de juger…