dimanche, août 20, 2006

Quand New York Rencontre Le Texas… Le Grand Final

Bienvenu donc au Coyote Ugly, avec toujours mon cher ami Texan Aymeric in NYC for 2 days: Le principe est simple, un Juke Box avec des rythmes dansants, des consos qui commence à 2 dollars avec la cannette de Blue Ribbon Beer, et surtout des serveuses en mini mini shorts en jean, au décolleté plongeant qui montent tous les quarts d’heures sur le bar pour faire des danses toujours plus folles… et d’autres choses… Je tiens à signaler avant tout que nous n’étions pas qu’entre hommes puisque accompagnée d’Audrey et Anne, qui sont également montées sur le bar, mais dont les photos m’ont été demandé de rester dans le domaine privé.

Première animation, le « shooter bouche à bouche », le principe est simple : la serveuse prend une ou deux gorgées de whisky, les garde dans la bouche, coince la tête du client (qui a mis le prix) entre ses genoux, et lui recrache avec grâce le whisky dans sa bouche. Je n’ai pas été victime de cette technique de vente, mais j’ai été quelque peu surpris quand accoudé au bar, l’une des serveuses m’a attrapé le cou bouteille à la main pour me pencher la tête en arrière et me verser trois bonnes gorgées de whisky sec, « à l’américaine ».


Deuxième animation, « le coup de fouet impérial », ou plutôt les coups. Là encore le client est joueur et décide toujours en mettant le prix de se faire enlever le haut par l’une des serveuses, toujours debout sur le bar, puis la serveuse lui enlève la ceinture et se met à le fouetter une bonne quinzaine de fois sans relâche…

Troisième et dernière animation, le shooter « bachelorette special », car c’est le grand truc pour les petites New Yorkase qui veulent enterrer leurs vie de jeune fille de venir faire un tour au coyote ugly et danser sur le bar… La serveuse mouille son ventre, y verse une ligne de sel, tient un citron dans la main droite, un shooter de tequila dans l’autre… la bachelorette boit la tequila d’un cul sec, lèche le sel sur le ventre de la serveuse, et croque dans le citron… que du bonheur… bref une soirée qui restera dans les anales, viva New York.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

tout ca est tres bien raconte mon cher arthur!
Ca va difficile de faire mieux...